Splat s’amuse sous la pluie, Splat n’aime pas perdre, Rob Scotton,
Nathan, 2013, 5,95 euros,
Albums jeunesse dès 4 ans
Résumés : Splat est très impatient d’essayer ses nouveaux rollers. Et ce n’est pas la pluie qui va le faire changer d’avis !
Aujourd’hui, Splat a invité ses amis Grouff et Plume à jouer. Mais après un chat et quelques parties de cache-cache Splat abandonne : c’est pas du jeu, il perd tout le temps !
Mon avis : C’est une fois de plus avec grand plaisir que j’ai retrouvé les aventures de Spalt ce petit chat rigolo et malicieux.
Dans ces deux albums, j’ai bien retrouvé l’atmosphère qui me plait tant dans l’univers de Splat.
Splat est un petit chat qui ressemble étrangement à beaucoup d’enfants. Il est mignon, rigolo et parfois un peu capricieux. Il n’en fait parfois qu’à sa tête et on en redemande ! 😉
Ces deux histoires sont très chouettes et rappelleront forcément le quotidien des plus jeunes. Chat est peut être un chat, mais beaucoup d’enfants pourront se retrouver dans ce personnage.
J’ai beaucoup aimé la chute de Splat n’aime pas perdre et Splat s’amuse sous la pluie, m’a beaucoup rappelé Adam prêt à tout pour aller jouer dehors par tous les temps. A défaut, on trouve toujours comment s’amuser.
Les illustrations sont toujours au top ! Le gros point fort pour moi, ce sont les expressions de Splat. J’adore sa bouille et sa maladresse légendaire.
J’aime tellement Splat, que je ne sais plus quoi vous en dire, hors mis que chacune de ses histoires sont de jolies pépites dont je ne me lasse pas.
Profitez de ces albums au petit format et au petit prix !
N’hésitez pas à découvrir Splat, je suis sûre que vous succomberez à son charme ! 😉
Livre lu dans le cadre de mon challenge TOTEM organisé par Lili Galipettes.
Cet album a été lu en lecture croisée avec ma copine Hérisson.
1 Comment
On adore Splat ici aussi mais on voir pour Splat n’aime pas perdre car j’en ai une ici qui est très mauvaise joueuse et je préférerai que le message soit clair que l’essentiel est de participer, ce qui ne semble pas être le cas, n’est-ce pas ?